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Fiscalité

«Le Conseil fédéral et le Parlement ont trouvé une solution qui a le mérite de la simplicité: les intérêts des obligations émises en Suisse ne seront plus soumis à l’impôt anticipé, tant pour les investisseurs étrangers que suisses.»
«Un couple marié avec deux enfants et gagnant au total 80.000 francs par an est taxé davantage qu’en Valais, à Genève et à Zurich.»
«La situation réjouissante des comptes 2021 s’explique par des transactions immobilières record.»
Une idée disruptive a été proposée dernièrement: l'initiative populaire «Micro-impôt sur le trafic des paiements sans espèces». Mais elle n'a pas récolté suffisamment de signatures.
Le Conseil fédéral veut préserver la compétitivité de la Suisse et créer les conditions nécessaires pour maintenir les emplois et les recettes fiscales.
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"Les réformes fiscales utiles, qui favorisent l’attractivité de notre pays, font l’objet de tirs de barrages idéologiques, dans une stratégie visant à marquer des points en vue des prochaines élections fédérales."
Le secrétaire général de l'OCDE, Mathias Cormann, avec Guy Parmelin en juillet 2021 en Suisse.
On ne se rend pas service en signalant que les entreprises ne sont peut-être pas les bienvenues en Suisse, estime Ueli Maurer.
Le résultat est pour le moins partagé, et les différences linguistiques – le fameux Röstigraben – apparaissent moins clairement que parfois (sauf sur un objet: la presse).
"Etant très attaché à l’attractivité économique de la Suisse, je suis évidemment en faveur de l’abolition d’un tel impôt."
Les éventuelles recettes supplémentaires reviendront aux cantons, selon la conseillère d’Etat en charge des finances genevoise, Nathalie Fontanet.
Le procès UBS en France se terminera après l'entrée en vigueur de la nouvelle loi.
"Je m'attends à ce que la semaine prochaine soit un moment décisif dans les négociations qui sont en cours depuis plusieurs années", a déclaré Paschal Donohoe, président de l'Eurogroupe.
Les décisions du Conseil des Etats de ce jeudi à ne pas manquer
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Ce samedi soir, à Berne, le ministre des Finances Ueli Maurer a expliqué qu'il est important que la Suisse dispose d'une certaine marge de manœuvre dans le calcul des bénéfices des entreprises.
A Venise, placée sous haute sécurité le temps du sommet, les ministres des Finances du G20 ont donné leur feu vert à cet accord qui instaure un impôt mondial d'"au moins 15%" sur les bénéfices des multinationales.
Pascal Saint-Amans: "En 2009, on a commencé à mettre fin au secret bancaire; c'était un premier volet. En 2012, on s'est attaqué à la sous-taxation des multinationales; maintenant, c'est la fin des paradis fiscaux."
La visite présidentielle tombe aussi à un moment où la Suisse paraît bien isolée dans le concert des trois grandes puissances mondiales.