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Stéphanie Giroud

Stéphanie Giroud
Les sous-traitants, présents au salon EPHJ de la haute précision à Palexpo de mardi à vendredi, affichent des carnets de commandes bien remplis.
«A l’automne 2021, nous avons connu une reprise vigoureuse, beaucoup plus forte que prévue», explique Pierre Dubois.
En deux ans et demi, la plateforme a pris en charge plus de 15.000 patients.
Les métiers de la logistique, allant de la préparation des commandes jusqu’à la livraison des produits en passant par la gestion des stocks, sont désormais recherchés. (Keystone)
Le médecin cantonal neuchâtelois Claude-François Robert.(Keystone)
Les cofondateurs d'Olympe Laurent Chatelanat, CEO, et Antoine Forel, CFO.
«Vous ne pouvez plus tabler sur la productivité seule, il faut innover, innover à outrance, il faut vendre une autre marchandise», estime Mario El-Khoury.
De nombreuses fintech suisses envisageaient la solution de paiement de Wirecard dans le cadre d'un développement à l'étranger. (Keystone)
Kevin Grangier, président de l'UDC Vaud, et Blaise Matthey, directeur général de FER Genève.
L'ALCP joue un rôle indispensable pour le recrutement de personnes dans des postes exigeant un faible niveau de qualifications. (Keystone)
Stéphanie Giroud, journaliste.
Actuellement, 77% des clients de Selma Finance ont moins de 40 ans et 35% ont moins de 30 ans.
Nathalie Brodard, directrice et fondatrice de Brodard Executive Search, estime avoir perdu 80% de chiffre d'affaires sur les mois d'avril et mai.
La porte-parole de la FER Genève, Véronique Kämpfen, et le directeur de la CCIG, Vincent Subilia.
La start-up Smeetz, qui compte sept collaborateurs, est dirigée par Alexandre Martin (à gauche).
Madeleine et Christof Siffert, à gauche, patron d'Actifisio. Simon Pidancet, en haut à droite, CEO de Sport multithérapie Cressy. En bas à droite, Belinda Matthey, CEO d'Activ Santé Physiothérapie, accompagnée d'Anthony Bouchain, directeur des soins.
Facebook a pris encore davantage de mesures pour lutter contre les fausses informations. (Keystone)
«Beaucoup de parents vont aux urgences pour de la bobologie alors qu'ils pourraient avoir une réponse plus rapide avec de la télémédecine», explique Maddalena di Meo, fondatrice de la start-up Baby & Kids Care.
"Avec le coronavirus nous sommes dans le cadre d'une médecine de guerre, donc il nous faut mettre en place de nouvelles solutions", explique Philippe Perret du Cray, responsable communication de Medhome. @Pierre-Alain Schneiter
Entre 400 et 500 personnes remplissent chaque jour le questionnaire sur le coronavirus disponible sur la plateforme Soignez-moi.ch.