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Smood

Toute l'actualité de Smood (chiffres, stratégie, résultas, trajectoires de dirigeants... ). Analyses, commentaires et interviews.

Environ 90% des restaurants sont gérés en Suisse par des indépendants.
Smood est prête à discuter avec les livreurs de Simple Pay dont elle louait les services et à leur proposer un nouveau contrat de travail.
Smood doit désormais proposer au moins quatre heures de travail par semaine et des affectations d'au moins deux heures.
Cette action s'est déroulée alors que Smood vient d'annoncer des améliorations.
Le personnel de Smood , qui s'était mis en grève, en Suisse romande, durant cinq semaines à la fin de l'année 2021, revendique de meilleures conditions salariales et de travail.
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Les trois informations incontournables de la semaine
En Suisse, «le paiement en cryptomonnaies reste un marché de niche»
Les livreurs de Smood continuent leur combat
En discussion avec Smood depuis janvier, Syndicom veut la conclusion d'un partenariat social avec comme but de négocier concrètement une CCT.
Lors de la conférence de presse à Zurich mercredi, le CEO de Stash Benno Burkhardt, à gauche, a présenté le nouvel ambassadeur de la start-up, Fabian Cancellara, à droite, également investisseur.
Smood promet de livrer en 45 minutes aux clients du géant orange les commandes issues de huit magasins de l'enseigne.
Dans une première phase, le nombre de coursiers licenciés était passé de 250 à 150, Smood ayant récupéré plusieurs dizaines de livreurs. Les syndicats envisagent désormais "une fin plus heureuse que prévu".
Une employée prépare des médicaments à l'envoi depuis le centre de logistique de Zur Rose à Frauenfeld.
Selon nos estimations, le chiffre d’affaires de Smood dépasserait les 70 millions de francs pour l’exercice écoulé.
L'Epaper du mercredi
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Pour autant, les livraisons à domicile ne sont pas la panacée."Ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan".
«Nous constatons une hausse de 270% de nos commandes en ligne pour la restauration, et + 1070% en ce qui concerne les livraisons de courses (Migros)», souligne Marc Aeschlimann, CEO de l’entreprise genevoise Smood.
Les contrevenants doivent s’attendre à recevoir une amende d’ordre.(Keystone)
. Soupe à la grimace pour les restaurateurs, surtout pour ceux habitués aux sorties d’entreprises: le coronavirus déloge la clientèle des restos. (Pixabay)
De gauche à droite, Philippe Echenard, directeur général de Migros Genève, Jean-Marc Sabet, fondateur et directeur général de B-Sharpe, Didier Eicher, directeur du développement de la Société coopérative Migros Genève et membre du comité de direction. ©Nicolas Righetti