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Suisse - UE

«L’adhésion à l’UE, l’Espace économique européen (EEE), la conclusion d’accords de libre-échange ou l’isolationnisme seraient nettement moins avantageux que l’adoption de nouveaux accords bilatéraux.»
«Avec un marché du travail local en manque de personnel dans plusieurs secteurs, l’économie neuchâteloise a absolument besoin de la main-d’œuvre frontalière.» (photo de la ville du Locle).
«L’initiative Boussole agite des épouvantails, prétendant que l’Union européenne menace notre autonomie, comme un ogre prêt à dévorer notre indépendance.»
En janvier dernier à Davos (GR), les deux dirigeantes avaient promis de se voir ou s'appeler dans les étapes importantes des négociations actuelles pour un accord institutionnel et sur les questions de l'électricité et de l'éducation.
Suisse-UE, Meyer Burger, BCGE: les trois mots-clés de la semaine
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Pour la première fois, une majorité (55%) s'exprime aussi en faveur des accords bilatéraux même si cela doit impliquer une reprise du droit européen.
Le Conseil fédéral est favorable à une nouvelle étude tenant compte des évolutions récentes à l'échelle internationale.
«Avec son économie tournée vers l’exportation et son statut de centre international, Genève est dépendant du maintien des bonnes relations entre la Confédération et l’UE.»
«Les accords bilatéraux ont été aussi bénéfiques pour les PME suisses, en supprimant les barrières douanières et en harmonisant les réglementations, facilitant ainsi l’exportation de leurs produits innovants vers les pays de l’UE.»
Plébiscités par la population suisse, les accords bilatéraux permettent de régler des questions importantes, notamment l'accès au marché unique, ainsi que la coopération en matière de recherche, de sécurité et d'asile.
Les entreprises ferroviaires étrangères auraient désormais la possibilité de proposer des liaisons ferroviaires en Suisse. Pour ce faire, elles devraient toutefois respecter certaines normes sociales.
Le programme de la législature 2023-2027 du Conseil fédéral accorde une grande place au dossier européen.
L'initiative veut introduire un article sur l'Europe dans la Constitution, qui préciserait que la Confédération participe activement à l'intégration européenne.
Selon son mandat de négociation avec l'Union européenne, le Conseil fédéral veut garantir durablement le niveau de protection actuel des conditions de travail et de salaire en Suisse.
Juriste de formation, Patric Franzen a participé aux discussions exploratoires qui ont suivi l'échec de l'accord-cadre.
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«Le GGBa nous aidé dans toutes les étapes, de l’ouverture d’un compte bancaire aux permis de travail», témoigne Juan Martin Cabaleiro, directeur technique de la biotech de Buenos Aires, Stämm, qui a installé un centre de recherche à Monthey, en Valais.
Les parties aux négociations souhaitent notamment conclure de nouveaux accords ou actualiser les accords existants dans les domaines de l'électricité, de la libre circulation des personnes ou des transports terrestres.
Le Conseil fédéral a pour sa part adopté le mandat vendredi dernier.
«Pour convaincre, l’économie a besoin d’un nouveau narratif. »
«Deux approchent s’affrontent pour le remboursement des frais. Au sein de l’UE, ils sont pris en compte dans le pays d’origine. En Suisse, le code des obligations précise que le salarié doit être indemnisé pour les dépenses réelles (lieu de travail).»