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Joe Biden

Les trois informations incontournables de la semaine
Il était une fois Joe à l’ouest, et un cuir-acier Potemkine à l’est.
Le sommet a permis d’amorcer un dégel entre les deux puissances.
Les délégations russes et suisses en discussion: peu de pistes concrètes de collaboration économique entre les deux pays ont toutefois été communiquées.
La Suisse figure parmi les dix premiers investisseurs en Russie.
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«Je ne prévois pas que ça soit permanent», a ajouté Janet Yellen, assurant que «nous surveillons très attentivement l'inflation et la prenons très au sérieux, personne ne veut revenir à l'inflation élevée des années 1970».
Le dialogue entre les deux présidents américain et russe démarre à l'intérieur de la Villa. Durée prévue: 4 à 5 heures.
Guy Parmelin a rencontré Joe Biden mardi à Genève.
Quelque 500 chambres d’hôtel ont été réservées à Genève.
Le président américain Joe Biden à son arrivée à Genève Aéroport.
Le Royaume-Uni souhaite jeter les bases d'un consensus quelques mois avant la grande conférence de l'ONU sur le climat (COP26) qu'il accueillera en novembre à Glasgow.
"Il ne s'agit pas de pousser les pays à choisir entre les Etats-Unis et la Chine. Il s'agit de proposer une autre vision et une autre approche", selon un haut responsable américain.
Les trois informations incontournables de la semaine
. Fiscalité des entreprises, gestion de fortune ou encore pharma, les intérêts de Joe Biden divergent de ceux de la Suisse.
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La visite présidentielle tombe aussi à un moment où la Suisse paraît bien isolée dans le concert des trois grandes puissances mondiales.
Pour M. Biden, cette rencontre viendra terminer une séquence aux défis de taille pour sa stature internationale.
Toute la rade sera bouclée, à Genève, lors du sommet entre les présidents russe et américain, Vladimir Poutine et Joe Biden, le 16 juin.
Le SMI a terminé en hausse de 0,52% à 11.630,66 points (nouveau sommet historique en clôture), avec un plus haut à 11.641,31 (nouveau plus haut historique en séance) et un plus bas à 11.530,64.
Les cantons les mieux positionnés fiscalement, notamment ceux de Suisse centrale, risquent de devoir augmenter les impôts.