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Loi Covid

"Le gouvernement fait peur à la population", a déclaré Marion Russek, co-présidente des Amis de la Constitution .
Alain Berset, le ministre de la Santé, présentait les assouplissements décidés par le Conseil fédéral.
Un non "punirait" les quelque 100'000 entreprises et le million de personnes bénéficiant des aides, estiment les partisans.
La crise du coronavirus constitue «un stress-test» pour la Suisse, son économie et son système socio-politique, indique l'Usam.
"Pour les entreprises concernées, de nouveaux retards seraient une catastrophe, d'autant plus que les indemnités sont déjà insuffisantes", a déclaré Casimir Platzer (à droite), président de GastroSuisse.
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Le président de l'UDC Marco Chiesa a fortement critiqué la politique du Conseil fédéral pour combattre le Covid-19.
Les milieux économiques demandent en premier lieu au Conseil fédéral de faire en sorte que toutes les personnes le souhaitant puissent se faire vacciner avant fin juin 2021 comme prévu.
Les interventions parlementaires sur le coronavirus se sont multipliées au cours de cette session de mars.
Loi Covid-19: le Parlement de nouveau plus généreux que le gouvernement
Les élus fédéraux ne sont toujours pas d'accord sur la définition des cas de rigueur.
Les députés ont abandonné mercredi l'idée de redéfinir la notion de base de cas de rigueur.
Le certificat de vaccination sur papier pourrait être remplacé par une version numérique européenne facilitant les voyages.
Des rues vides en mars 2020 à Lausanne
Coronavirus: le National tient à aider les commerçants
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«Je suis d’avis que lorsque nous effectuons ce genre de calcul, il faut aussi prendre en considération les coûts collatéraux, soit les faillites et les licenciements», déclare Fabio Regazzi.
Pour Christian Levrat ( à g.), la révision de la loi doit "permettre aux personnes en difficulté de surmonter une phase délicate et faire face à la reprise dans les meilleures conditions".
Le montant sera principalement destiné à l'aide aux cas de rigueur et à l'assurance chômage.
Pour le Conseil national, un recul de 25% du chiffre d'affaires, et non 40%, devrait être suffisant pour être considéré comme un cas de rigueur.
La stratégie de déconfinement au coeur des débats au Conseil national