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Travail.Suisse

«Des solutions moins onéreuses, mieux ciblées, mais également plus durables que le congé parental doivent être privilégiées.»
Les réactions sont positives suite à l'adoption par le Conseil fédéral de quatorze mesures de politique intérieure visant à protéger les salaires dans le cadre des négociations avec l'Union européenne (UE).
Les délégués et déléguées des Verts, réunis samedi à Peseux (NE), ont approuvé le lancement de l'initiative réclamant un congé parental de 18 mois. Les Vert'libéraux ont fait de même lors de leur assemblée le même jour à Thoune (BE).
Plus de 770.000 employés songent à changer de travail l'année prochaine en raison du stress subi, selon la faîtière.
En mai 2024, l’OFAS a découvert que le programme de calcul des perspectives financières de l’AVS comportait deux formules mathématiques qui conduisaient à une estimation anormalement élevée des dépenses de l’AVS sur le long terme.
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«La hausse des salaires nominaux anticipée par les entreprises en 2025 devrait être de 1,6% en moyenne, alors que l’inflation devrait se modérer à 1%.»
Dans l’hôtellerie-restauration, les négociations ont échoué au printemps dernier. «Face à l’attitude intransigeante des associations patronales», les syndicats ont saisi le tribunal arbitral, a souligné Roger Lang, responsable de la politique sociale à Hotel&Gastro Union.
Les erreurs de calcul dans les projections AVS ne remettent pas en question la votation sur la 13e rente AVS ont indiqué Stéphane Rossini (directeur de l'OFAS) et Bruno Parnisari (directeur suppléant) lors de la conférence de presse ce mardi.
Pour la droite, la priorité doit aller aux économies pour financer la 13e rente.
Chaque année en effet, entre 9000 et 12.000 jeunes mères ne reprennent pas, contre leur gré, leur travail après la naissance de leur enfant, selon les chiffres du Bureau d'études de politique du travail et de politique sociale.
Pour l'Union suisse des arts et métiers (usam), à l'origine de l'initiative «200 francs, ça suffit» avec les Jeunes PLR et l'UDC, la proposition du Conseil fédéral «ne change rien à la double imposition inadmissible des entreprises et n'est que pure cosmétique».
Pour le parti écologiste, la Suisse dispose de suffisamment de toits, façades et infrastructures appropriées pour couvrir son besoin actuel en électricité, voire plus, avec de l'énergie solaire. Or, aujourd'hui, elle n'exploite qu'un dixième de ce potentiel.
D'ici à début février, plusieurs partenaires sociaux communiqueront leur position officielle au Département fédéral des affaires étrangères (ici le chef du département, le conseiller fédéral Ignazio Cassis).
Des améliorations significatives ont été obtenues dans des branches à bas salaires, comme la coiffure.
Le Conseil fédéral devrait présenter en décembre ou janvier un mandat de négociation avec l’Union européenne.
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Ce samedi, plusieurs faîtières, associations et partis appellent les travailleurs à se mobiliser. Ils réclament des mesures rapides contre «l'explosion» des primes d'assurance-maladie, des loyers et des factures d'électricité.
«Durant la dernière décennie, la politique salariale des entreprises suisses a renforcé le pouvoir d’achat de leurs collaborateurs.»
«Si le pouvoir d’achat en prend un coup aujourd’hui, c’est en raison, avant tout, de problèmes structurels de la Suisse avec certaines politiques.»
Travail.Suisse estime que le rapport entre les bénéfices des entreprises et les salaires s’est élevé à 14% en 2021 et à 16% en 2022, et qu’il devrait être de 17% en 2023.
La gauche et les syndicats ont remis mardi 141.726 signatures à la Chancellerie fédérale. Le peuple votera en mars 2024.