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Successions

La fondation F.G. Pfister investit dans les PME suisses qui veulent régler leur succession de manière externe.
«En demandant une imposition de 50% des successions et des donations de plus de 50 millions de francs [...], l’initiative de la Jeunesse socialiste met en péril les entreprises familiales suisses transmises de génération en génération.»
DeepSeek, API, KTM: les trois mots-clés de la semaine
L’entreprise informatique API a depuis le début de l’année un nouveau directeur général en la personne de Nathanel Borros (à gauche), le fils du fondateur Maxime Borros.
Martin Haefner est notamment le propriétaire de l'importateur automobile Amag et l'actionnaire principal du sidérurgiste lucernois Swiss Steel.
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Selon le Conseil fédéral, l'impôt ne rapporterait qu'environ 100 à 650 millions. De plus, l'initiative pourrait entraîner une diminution des recettes fiscales.
«Il est improbable que [le] projet extrême [des Jeunes socialistes] passe la rampe, mais le simple fait qu’il puisse être accepté suffit à inquiéter», estime le conseiller aux Etats centriste Fabio Regazzi, par ailleurs président de l'Usam.
Les Suisses s’exprimeront sur une initiative des Jeunes socialistes visant à imposer les successions à hauteur de 50% au-delà de 50 millions de francs.
En Suisse allemande, plusieurs personnalités du monde économique ont partagé leur indignation à la presse concernant l’initiative qui demande une imposition de l’héritage à hauteur de 50% à partir de 50 millions de francs.
Seuls 8% des 300 Suisses les plus riches ont gagné leur fortune eux-mêmes, selon le KOF.
L'autorité de surveillance des marchés financiers (Finma), la Banque nationale suisse (BNS) et le Conseil fédéral ont tous failli dans la gestion de la banqueroute de Credit Suisse, selon le bilan intermédiaire de la commission d'enquête parlementaire (CEP).
Martin Schlegel présidera une direction générale de la BNS totalement renouvelée en deux ans.
La grande argentière Karin Keller-Sutter, précisant au plénum qu’elle s’exprimait au nom du collège gouvernemental et non du Département des finances, a été suivie par la Chambre haute.
Sergio Ermotti ne quittera pas UBS avant d'avoir bouclé l'intégration de Credit Suisse.
Les chiffres sont éloquents: les transferts annuels de patrimoines – successions ou donations – représentent un montant deux fois supérieur aux dépenses de l’AVS.
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Les noms de Iqbal Khan, Rob Karofsky et Bea Martin sont cités par le «Financial Times».
Le cabinet s'attend à ce que 18.000 milliards de dollars soient légués dans le monde d'ici 2030.
Le projet visait notamment à faire en sorte qu'un unique héritier puisse reprendre l'entreprise, même si aucune disposition testamentaire n'a été prise en ce sens.
Le Conseil fédéral nommera le prochain président de la Banque nationale.
Les sénateurs ont accepté, par 31 voix contre 12, une motion de Thierry Burkart (PLR/AG), préférant une libéralisation des fondations de famille suisses. Le Conseil fédéral était ouvert à l'idée. Le National devra encore se prononcer.