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PMI

Du côté de l'industrie, la composante de la production a chuté de manière significative en juillet, mais cela représente principalement un effet saisonnier.
«La progression du franc suisse face au dollar et à l'euro» s'explique aussi par «la publication de PMI européens décevants», estime M. Plassard.
Après avoir stagné en avril, l’économie du Royaume-Uni avait renoué avec la croissance en mai, progressant de 0,4%.
Les trois poids lourds de la cote n'échappait pas à la curée, le bon Roche (-0,7%) et la nominative Nestlé (-0,5%) se montrant un peu plus résistants que Novartis (-1,3%).
Le podium se compose de SGS (+2,7%), Kühne+Nagel (+2,5%) et du bon Schindler (+2,4%).
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Le SMI optimiste à la Bourse suisse après le retrait de Joe Biden
Le SMI en hausse à la Bourse suisse après le retrait de Joe Biden
Le Royaume-Uni a vu son activité économique repartir plus vite que prévu en début d’année.
Sur les 30 valeurs vedettes, 19 progressaient, huit reculaient et trois étaient stables.
L'utilisation des capacités de production reste pour l'instant faible, tant parmi les grandes entreprises que parmi les PME.
Au 1er trimestre, le secteur manufacturier représentait 27% du Produit intérieur brut (PIB) de la Chine, selon des données officielles.
Stabilisation des marchés
L'écart entre le taux d'intérêt français pour l'emprunt à 10 ans (3,21%) et celui de l'Allemagne (2,40%) se creusait assez nettement par rapport à la veille, revenant proche du pic de la semaine précédente.
Sur les 30 valeurs vedettes, le bon Roche (+1,3%) et le bon Lindt (+1,1%) sont les seuls gagnants du jour.
L'indice mesurant plus précisément la production manufacturière a brutalement reculé, à 46, contre 49,3 en mai, traduisant une aggravation soudaine du déclin de l'activité.
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Le leader du Parti travailliste anglais, Keir Starmer. À moins de deux semaines d’élections pour lesquelles l’opposition travailliste est donnée largement gagnante.
La confiance s'est détériorée en juin, passant sous sa moyenne de long terme, signe selon S&P et la HCOB de l'incertitude liée à l'issue des élections législatives des 30 juin et 7 juillet en France et du contexte politique international.
La BCE sans surprises, l’emploi américain en force
En revanche, l'emploi reste sous le seuil de croissance, signe d'une détérioration continue du marché de travail, sans que cela se reflète dans un recours accru au chômage partiel, selon UBS.
La composante emploi a dépassé le seuil de croissance, pour la première fois depuis longtemps, atteignant 50,7 points contre 45,9 précédemment.