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Stellantis

Toute l'actualité de Stellantis (chiffres, stratégie, résultas, trajectoires de dirigeants... ). Analyses, commentaires et interviews.

Les «Sept Magnifiques» connaissent une évolution contrastée: Tesla (-5,07%), Alphabet (-0,16%), Amazon (+1,68%), Meta (+0,96%), Apple (-3,19%), Microsoft (-0,96%) et Nvidia (+0,80%).
Le ministère chinois du Commerce a par ailleurs annoncé des contrôles à l'exportation sur sept éléments de terres rares, y compris le gadolinium, utilisé notamment en imagerie par résonance magnétique, et l'yttrium, utilisé dans l'électronique grand public.
Les Etats-Unis sont un «marché clé» pour l'industrie automobile européenne, qui y a exporté en 2024 près de 750.000 voitures pour une valeur de 38,5 milliards d'euros.
Donald Trump a déclaré une guerre commerciale au Canada de Justin Trudeau. à la Chine de Xi Jinping et au Mexique de Claudia Sheinbaum.
Vers 17h15 GMT, le bitcoin continuait de souffrir du climat incertain engendré par les déclarations imprévisibles de Donald Trump et chutait de 7,35%, à 87.055 dollars.
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Le constructeur automobile Stellantis dévisse de 5,59% vers 14h30 GMT à la Bourse de Paris, après avoir publié un bénéfice net en forte baisse en 2024.
Vers 15h15 GMT, les valeurs du secteur des semi-conducteurs étaient globalement en hausse à l'image de Nvidia (+3,32%), Broadcom (+3,76%), AMD (+1,11%), Qualcomm (+1,44%), Micron (+4,87%), Intel (+2,92%).
A Francfort, Daimler a perdu 3,64%, Porsche -2,76%, Volkswagen -2,83% et BMW -2,28%. A Paris, Renault a perdu 2,40% et Stellantis -1,61%, tout comme les équipementiers, Forvia terminant en baisse de 3,50% et OPMobility de -5,68%.
Le secteur automobile était dans le rouge en Europe, à l'image des constructeurs allemands BMW (-2,40%), Volkswagen (-2,43%) et Mercedes (-1,90%). En France, Renault (-1,98%) et Stellantis (-0,96%) cédaient du terrain, tout comme les équipementiers Forvia (-3,59%) et OPMobility (-4,24%). A Stockholm, Volvo chutait de 2,17% vers 14h40 GMT.
Le secteur automobilie européen a souffert. A Paris, Stellantis a terminé en baisse de 4,48% et Renault de 0,54%. En Allemagne, Mercedes a cédé 2,90%, Volkswagen 4,10%, Porsche 3,50% et Daimler 2,95%.
Le métal jaune a été propulsé lundi à un nouveau sommet historique, à plus de 2.830 dollars l'once.
Stellantis a communiqué de nouvelles politiques commerciales à ses groupes de concessionnaires pour 2025.
La Bourse de Milan enregistrait une hausse de 1,53%.
L'indice composite de Shanghai a perdu 2,66%. L'indice Hang Seng de Hong Kong a pour sa part accusé une diminution de 2,36%. Shenzhen a chuté de 3,14%.
Le rendement des obligations de l'État français sur dix ans ressortait à 2,91% vers 17h00 GMT, et son équivalent allemand était à 2,03%.
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Alors tous les constructeurs européens seraient en panne? Non. Renault, numéro trois européen, est pour l'instant l'exception à la règle. Le groupe au losange a retrouvé des niveaux de marge satisfaisants et les faveurs des investisseurs. Il lance une offensive majeure en 2025 avec la R5 électrique.
Dans ce contexte, les taux d'intérêt des obligations d'État françaises à dix ans étaient stables, à 2,92% vers 15h00 GMT, contre 2,89% la veille, après avoir grimpé dans la matinée.
Les valeurs dépendantes du commerce international ont profité de cette perspective en Europe, à l'image du secteur du luxe, avec Kering (+5,52%), LVMH (+1,63%) et Hermès (+2,52%). A Londres, Burberry a gagné 1,51% et à Zurich, Richemont a pris 2,19%.
Le secteur du luxe a souffert: à Paris, Kering a dégringolé de 7,75%, LVMH de 3,33% et Hermès de 4,13%. A Londres, Burberry a plongé de 7,56%. A la Bourse suisse, le titre Richemont a reculé de 6,61%,
Après leurs résultats trimestriels, JP Morgan (+5,21%), Blackrock (+3,18%) et Wells Fargo (+5,63%) grimpaient à Wall Street vers 16h00 GMT.