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KOF

Raiffeisen maintient sa prévision d’inflation pour 2025 à 0,2%.
L'accès de prudence du mois d'avril touche en outre une grande majorité de secteurs.
Les assureurs Swiss Re (+1,5%), Swiss Life (+1,0%) et Zurich (+0,9%) ont fini sur le podium du jour.
Pour l'heure, le marché du travail semble résilient dans la Confédération. En mars, le taux de chômage y est resté stable à 2,9%.
L'indice a évolué négativement en ce qui concerne les produits manufacturés.
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La conjoncture stagne en Suisse comme dans les cantons romands
Depuis le lancement de l’offensive commerciale par le locataire de la Maison Blanche il y a tout juste une semaine, l’indice phare de la place zurichoise a vu s’évaporer près de 1900 points.
Selon le Centre de recherches conjoncturelles (KOF), la Suisse va souffrir davantage que ses voisins allemand et français.
Sur les trente valeurs vedettes, vingt ont reculé et dix avancé.
Les perspectives pour l'économie suisse s'améliorent, selon le baromètre du KOF qui a progressé de 1,3 points au mois de mars 2024, à 103,9 points.
Un peu avant 10h vendredi matin, la bourse suisse était en légère hausse.
Sur les 30 valeurs vedettes, 20 ont reculé et 10 avancé.
Sur les 30 valeurs constitutives du SLI, 10 conservaient la tête hors de l’eau, les 20 autres étant passées sous la ligne de flottaison.
Le KOF entrevoit une accélération du PIB à 1,9% pour 2026, contre encore +1,7% il y a trois mois.
En haut de tableau, l'équipementier st-gallois de pompes à vide VAT Group (+0,9%) prenait la direction des opérations, devant UBS (+0,6%) à la lutte avec le géant schwytzois Kuehne+Nagel (+0,6%).
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Les prévisions concernant les investissements dans la construction ont aussi été revues à la baisse, avec une croissance de 2,0% pour l'année en cours.
J. Safra Sarasin, CCIG, économistes: les trois mots-clés de la semaine
Les groupes d’experts mis en place par le Conseil fédéral sur des dossiers importants de politique économique comptent peu de Romands. «Je trouve qu’il est en principe très difficile de savoir si nos recommandations sont suivies par les politiques», admet le professeur Aymo Brunetti.
La construction fait exception aux secteurs se trouvant face à des difficultés.
Seuls deux cantons romands évoluent au-dessus de leur potentiel de long terme