Les taux cela coûte de l’énergie. L’énergie de ceux qui fixent, de ceux qui pédalent et de ceux qui sifflent. Les banques savent fixer, il semble que cela soit leur métier. Les banques centrales fixent au centre et les autres sifflent autour.
Le point de rayonnement étant calculé avec les lois de la gravitation universelle, c’est à coups de pédale à la Sir Isaac que la clientèle se départage.
La roue de la fortune est un jeu de hasard, petit bonheur la chance. On regarde où tombe la pomme avant de choisir l’arbre. Le benchmarking des initiés, le coup de poignet à la roulette, les jeux sont faits du croupier.
Le taux c’est un jeu de hasard, tu peux gagner comme tu peux perdre, encore plus riche, encore plus pauvre. Comme dirait l’autre, l’argent, il faut en avoir pour parler taux. Alors le taux le plus énergétique, c’est encore d’apprendre à compter.