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Prix à la production

Toute l'actualité de Prix à la production (chiffres, stratégie, résultas, trajectoires de dirigeants... ). Analyses, commentaires et interviews.

Les poids lourds Nestlé et le bon Roche prenaient chacun 0,3%. Novartis grappillait 0,04%.
Le yen, dont l'appréciation soudaine avait joué dans les mouvements tumultueux des marchés la semaine dernière, cédait lundi 0,54% contre le dollar, à 147,40 yens pour un dollar. L'euro grappillait 0,11% par rapport au dollar, à 1,0929 dollar pour un euro.
Logitech (+1,9%) a achevé la séance sur la plus haute marche du podium devant Richemont (+,12%) et le gestionnaire d'actifs zougois Partners Group (+0,9%).
Vers 15h55, le bitcoin gagnait 1,73% à 59.531 dollars.
Sur la semaine dernières, le S&P 500 a glissé de 0,04%, le Nasdaq est en repli de 0,2% et le Dow Jones de 0,6%.
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La quasi-totalité des valeurs vedettes s’affichait toujours dans le vert.
Vers 14h15 GMT, les mégacapitalisations de la tech regagnaient peu à peu l'intérêt des acheteurs, Amazon progressait de 0,93%, Meta de 0,18%, Apple retrouvait la stabilité alors que les contrats à terme avant l'ouverture étaient en territoire négatif.
La Chine avait plongé en déflation durant quatre mois à partir de la fin 2023, avec en janvier la plus forte contraction des prix à la consommation depuis 14 ans.
Le maintien d'un cap monétaire très accommodant au Japon contribue à l'extrême faiblesse actuelle du yen.
Dans l’ensemble, les marchés financiers ont apprécié ce flux de nouvelles présageant l’atterrissage en douceur de l’économie et la probabilité accrue de voir la Fed abaisser son taux directeur d’un quart de point une première fois le 18 septembre, et peut-être une deuxième fois le 18 décembre.
La hausse est légèrement supérieure aux attentes des marchés, qui tablaient plutôt sur une progression de 0,1% des prix de gros.
La Chine avait plongé fin 2023 en déflation durant quatre mois, avec en janvier la plus forte contraction des prix à la consommation depuis 14 ans.
A New York, les indices étaient quasi stables vers 16h40 GMT. Le Dow Jones perdait 0,06%, le S&P 500 (-0,02%) suivait la même tendance, tandis que le Nasdaq était en légère hausse de 0,08%.
L'indice S&P 500 a battu, vendredi, son 34e record de l'année en clôture, tandis que le Nasdaq a, lui, signé son 24e plus haut historique depuis début janvier.
Sur le marché obligataire, le taux français de l'emprunt à 10 ans (3,25%) continuait de baisser et de se rapprocher de son équivalent allemand (2,58%), signe d'une baisse de la nervosité chez les investisseurs.
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Sur le marché obligataire, le taux français de l'emprunt à 10 ans (3,30%) continuait de se rapprocher de son équivalent allemand (2,61%), qui fait référence en Europe, signe d'une baisse de la nervosité chez les investisseurs.
Contraste entre les deux côtés de l’Atlantique
Conformément aux attentes, la Réserve Fédérale a maintenu son taux d’intérêt entre 5,25% et 5,5% tout en révisant à la baisse les perspectives d’assouplissement monétaire pour 2024.
Les deux titres Roche (porteur +1,2%, bon +0,9%) accompagnent Sandoz (+1,3%) sur le podium du jour.
La Bourse suisse prudente après la Fed