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Politique monétaire

La BoE a par ailleurs revu légèrement à la hausse jeudi ses prévisions sur la croissance britannique en 2025, à 1% contre 0,75% projetés en février.
La Bourse suisse se reprend à l’approche de la mi-journée
La lanterne rouge revenait à Swisscom (-3%).
Pour l'année en cours, la direction confirme son objectif, soit un bénéfice net légèrement plus élevé.
«L'incertitude concernant les perspectives économiques s'est encore accrue», selon le communiqué de la banque centrale.
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Sur les 30 valeurs vedettes, Straumann (+0,5%) et UBS (+0,1%) sont les seuls gagnants.
Le gouvernement chinois entend relancer la croissance, qui ne s'est jamais complètement remise de la pandémie.
Les espoirs de négociations soutiennent les marchés
L'institution monétaire devrait laisser ses taux au niveau qui est le leur depuis décembre, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.
«En cas de besoin, nous sommes disposés à réfléchir à la réintroduction d'un taux zéro, voire d'une politique (monétaire) de taux négatifs», a souligné Martin Schlegel.
L'équipementier de salles d'aisance Geberit s'adjugeait 0,7%, après avoir été ballotté en entame de séance.
L'équipementier de salles d'aisance Geberit (+0,2%) refaisait surface, après avoir ballotté en entame de séance.
Le secteur aérien profite du recul des cours du pétrole. En Europe, Air France-KLM a terminé en hausse de 2,37%, Lufthansa a progressé de 2,35% et Dassault Aviation s'est adjugé 1,66%. Aux Etats-Unis, vers 15h45 GMT, Delta Air Lines gagnait 3,35% et United Airlines 2,24%.
A la bourse suisse, le SMI se rapproche des 12.300 points
Malgré les attaques répétées de Donald Trump, la Réserve fédérale de Jerome Powell devrait garder son cap monétaire.
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Ces prévisions maussades sont publiées alors que le négociateur japonais est de nouveau à Washington ce jeudi pour reprendre les discussions sur les droits de douane massifs.
L'indice de volatilité Vix, surnommé «indice de la peur», qui mesure la nervosité des investisseurs sur le marché, s'envolait de plus de 9%.
Les incessantes volte-face de l’administration Trump provoquent de fortes turbulences sur les marchés financiers et compliquent la tâche des investisseurs et des entrepreneurs.
Les valeurs refuges telles que le dollar américain et les bons du Trésor n’ont pas fourni leur protection habituelle. L’indice du dollar est tombé à un plus bas de trois ans et les rendements des bons du Trésor américain ont évolué de manière inégale.
Les résultats de la banque ont surtout été affectés par la politique monétaire plus expansive des principales banques centrales, qui a entraîné une réduction des marges d'intérêt.