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Consommation

L'indice des prix à la consommation CPI de février au Royaume-Uni s'est affiché mercredi à 2,8% sur un an, là où les analystes consultés par Bloomberg s'attendaient à ce qu'il se maintienne à 3%.
Sur les 30 valeurs constitutives du SLI, 10 conservaient la tête hors de l’eau, les 20 autres étant passées sous la ligne de flottaison.
En haut de tableau, l'équipementier st-gallois de pompes à vide VAT Group (+0,9%) prenait la direction des opérations, devant UBS (+0,6%) à la lutte avec le géant schwytzois Kuehne+Nagel (+0,6%).
«Liberation Day» soutient les marchés à court terme
Globalement, la communication de la Fed montre que ses responsables sont moins confiants dans la santé de l’économie américaine.
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Sur les trente valeurs vedettes, 17 ont progressé, douze reculé et Richemont a fini inchangé.
Vers 14h20 GMT, le Dow Jones prenait 0,07%, l'indice Nasdaq 0,22% et l'indice élargi S&P 500 0,19%.
Dans son discours, le premier ministre chinois Li Qiang a déclaré que «la fragmentation de l'économie mondiale s'intensifie», alors que «l'instabilité et l'incertitude augmentent».
Depuis la réélection de Donald Trump, la confiance des consommateurs américains s’est détériorée, signe d’une incertitude accrue vis-à-vis des droits de douane.
Faut-il vendre l’or à 3000 dollars?
Dans l’attente de nombreuses réponses qui tardent à venir, le président de la Fed, Jerome Powell, et ses collègues ont clairement exprimé leur volonté d’attendre de mieux différencier «bruit et signal» avant d’agir.
En janvier, les ventes avaient accusé une baisse prononcée de 1,2% (contre 0,9% comme précédemment annoncé) par le ministère américain du Commerce.
Le taux de chômage urbain, principal indicateur de l'emploi en Chine, a ainsi grimpé à 5,4 % en février, soit une hausse de 0,2 points par rapport au mois précédent. Il s'agit de son plus haut niveau depuis deux ans.
Adecco (+5,7%), Partners Group (+3,5%) et UBS (+2,5%) ont fini sur le podium.
Les fluctuations fréquentes des politiques économiques font que les consommateurs ont beaucoup de mal à se projeter dans l’avenir, quel que soit leur bord politique, indiquent les analystes.
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Jeudi, le S&P 500 était entré en zone de correction, c'est-à-dire qu'il avait perdu plus de 10% depuis son plus haut de l'année atteint le 19 février. Son rebond vendredi lui permet de sortir de cette phase.
Les Américains guettent au quotidien l'envolée du prix des oeufs, due aux ruptures d'approvisionnement provoquées par la grippe aviaire.
En Europe, les indices boursiers rebondissent, après une succession de séance de pertes.
Les investisseurs craignent l’impact économique des droits de douane imposés ou brandis comme menace par M. Trump ces dernières semaines contre plusieurs pays, comme la Chine, le Mexique ou le Canada.
Les marchés «se montrent de plus en plus inquiets pour l'avenir de l'économie américaine», a expliqué John Plassard, spécialiste de l'investissement pour Mirabaud.