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La qualité des soins n’est ni mesurée ni valorisée dans le cadre du Tardoc. Elle ne joue aucun rôle dans la rémunération des actes médicaux, ni des forfaits tels que prévus.
Thomas Christen, directeur suppléant de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP, à gauche), Elisabeth Baume-Schneider, conseillère fédérale en charge du Département fédéral de l’intérieur (DFI), et Pierre Alain Schnegg, conseiller d’Etat bernois et président de l’Organisation tarifs médicaux ambulatoires (OTMA SA) lors de la conférence de presse de mercredi.
Les traitements hebdomadaires comme Ozempic et Wegovy sont commercialisés à des prix avoisinants respectivement 115 francs et 180 francs par stylo injecteur. Soit près de 10.000 francs par année pour le second, dernier médicament autorisé et déjà le plus prescrit.
Jusqu'à fin juin 2025, les taux indicatifs des hypothèques à taux fixe sur 10 ans devraient évoluer dans une fourchette comprise entre 1,45 et 1,65%.
Les dépenses de santé représentent 11,8% du produit intérieur brut en 2023, contre 11,6% l’année précédente. Le KOF prévoit 12% en 2024.
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Le conseiller aux Etats socialiste et président de l'USS Pierre-Yves Maillard, accompagné de syndicalistes, a déposé à Berne le 18 avril dernier les signatures nécessaires au référendum contre la réforme du financement uniforme des prestations (EFAS).
Le SMI dépasse les 12.100 points en début de matinée
Au troisième trimestre, les taux moyens sur dix ans calculés par Comparis s'inscrivent ainsi dans la fourchette 1,5%-2,0% pour les hypothèques fixes et entre 1,6% et 2,0% pour les emprunts basés sur le Saron.
Le spécialiste de l’économie de la santé Félix Schneuwly affirme «que quand l’assuré doit assumer financièrement une prestation médicale, il hésite à consulter à outrance», ce que confirment plusieurs études.
Selon le relevé du portail comparatif financier Comparis.ch, une hypothèque à taux fixe sur trois ans se négociait fin juin à un taux indicatif de 2,09%, contre 2,13% au dernier pointage mi-avril.
Le canton de Zoug propose d’utiliser une partie de ses excédents budgétaires dans la prise en charge des frais d’hospitalisation stationnaires. Les primes d’assurance maladie de ses habitants seront ainsi allégées.
Les commissions payées par les compagnies d'assurance à la suite d'une demande d'offre sur Optimatis représentent une part importante du bénéfice du groupe Comparis.
Comparis.ch a constaté que la part des hypothèques à taux fixe de durée moyenne (de 4 à 6 ans) est passée d'environ 40% à 30%.
Selon Deloitte, seulement 36% des personnes interrogées attribuent la hausse des coûts de la santé aux caisses maladie. En revanche, 63% des sondés pointent du doigt l’industrie pharmaceutique, et 59% se considèrent eux-mêmes comme responsables.
L'année prochaine, les coûts de la santé en Suisse augmenteront de 3,2%, selon Comparis et le KOF.
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«Les établissements privés feraient mieux de chercher à établir un modèle de tarification qui lierait plus étroitement les coûts aux indicateurs de qualité et aux résultats cliniques plutôt que d’appliquer les honoraires imposés par chirurgiens», tranche Felix Schneuwly, spécialiste de l'économie de la santé chez Comparis.
Mi-avril, une hypothèque fixe sur trois ans se négociait à un taux indicatif de 2,13%, contre 2,08% au dernier pointage fin décembre.
Les marchés hypothécaire et immobilier continuent de présenter des vulnérabilités selon la BNS.
Les banques cantonales romandes ont retenu au moins 30% de la hausse des revenus d'intérêts.
La pénurie de logements concerne toute la Suisse, mais elle se concentre particulièrement sur les centres urbains.