03 juin 2014, 22h15
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Cela fait des mois que la BCE se trouve au centre des préoccupations. A l’issue de chacun de ses comités, c’est l’inertie de l’institution qui frappe. La croissance s’est certes redressée mais l’inflation continue de se dégrader, ravivant le spectre d’une spirale déflationniste à la japonaise. Cette inertie est en réalité de l’attentisme. Car Mario Draghi n’est pas un insouciant. Le président de la BCE a juste fait le choix d’accorder le bénéfice du doute au temps qui passe. Or, il semblerait ce...
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