François Christen
One Swiss Bank à Genève
26 mai 2014, 22h33
Partager
La montée en puissance des partis nationalistes aux élections européennes n’a pas empêché une décrue significative des primes de risque sur le marché des capitaux souverains en euros. Cette évolution est paradoxale, car le rejet du projet communautaire pourrait entraver la refonte des institutions requise pour éviter un nouvel épisode de la «crise de la dette». L’Union Monétaire Européenne reste à ce jour une construction bancale, maintenue dans un état de stabilité grâce aux garanties apportées...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT