François Christen
One Swiss Bank à Genève
04 juin 2012, 22h32
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C’est curieux : la chute des rendements des emprunts les plus sûrs à des profondeurs abyssales n’a pas encore donné lieu au diagnostic de bulle obligataire ! La discrétion de ceux qui expriment usuellement des vues «bearish» sur le marché obligataire traduit peut-être une forme de «capitulation». Si tel est le cas, le moment semble bien choisi pour réduire l’exposition aux « valeurs-refuges» qui culminent à des altitudes où l’oxygène commence à manquer. Le rendement du «T-Note» américain à...
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