24 septembre 2014, 22h22
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Dans «D’or et de papier» (Les Belles-Lettres), Benoît Malbranque expose ses réserves à l’égard du papier comme support de la monnaie, instrument nécessaire et naturel aux échanges. Reprenant l’histoire de la monnaie, il explique comment l’usage du papier a été initialement dicté par des implications politiques. Car, très rapidement, c’est bien l’État qui s’est immiscé au cœur des questions monétaires. Et au cœur des problèmes. L’auteur démontre ainsi comment les mécanismes de production monétair...
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