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WTI

Toute l'actualité de WTI (chiffres, stratégie, résultas, trajectoires de dirigeants... ). Analyses, commentaires et interviews.

Depuis le début de la semaine, les deux références du brut ont chuté d'environ 5,5% pour le Brent, et de 6,5% pour le WTI.
L'hiver jusque-là exceptionnellement doux a permis aux différentes nations européennes de préserver leurs réserves de gaz en réduisant la demande de chauffage.
Le S&P 500 reculait de 0,04%, le Dow Jones de 0,03% et le Nasdaq gagnait 0,05% vers 14H40 GMT.
Mardi, les commentaires de Jerome Powell à la Fed, suggérant une nouvelle accélération du rythme des hausses de taux, avaient largement pesé sur les prix du brut.
Wall Street a ouvert en hausse: vers 15h00 GMT, le Dow Jones gagnait 0,97%, le S&P 500 1,05% et le Nasdaq 1,29%.
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Une réduction des exportations russes de 25% correspondrait à 0,6% de l'offre mondiale de pétrole.
Vers 11h30, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril prenait 0,61% à 81,09 dollars.
Les investisseurs attendent toujours des signes concrets de la reprise de la consommation de brut.
Le marché pétrolier attend un signal définitif d'une reprise de la croissance chinoise, le pays étant le premier importateur de brut au monde.
Les commentaires de membres de la Fed ont relancé l'hypothèse d'une hausse des taux directeurs de 50 points de base lors de la prochaine réunion de mars de la banque centrale.
Vers 12h15, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril perdait 1,24% à 85,54 dollars.
Tous les yeux vont se tourner mardi vers la publication de l'indice des prix à la consommation aux Etats-Unis pour le mois de janvier.
Si le marché a été «secoué» vendredi, Stephen Brennock, de PVM Energy relativise les conséquences réelles de l'annonce, qui avait été signalée «depuis un certain temps».
Fin de semaine sans enthousiasme sur les marchés mondiaux
Moscou est frappé depuis décembre par la mise en place d'un prix plafond sur son brut par le G7, l'Union européenne et l'Australie.
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L'indice de la Bourse de Londres est monté de 0,58%, après avoir atteint un peu plus tôt un nouveau sommet historique.
Les attentes d'un redémarrage de la demande chinoise, premier pays importateur de brut au monde, continuent en effet de guider le marché.
Depuis le début de la guerre, Moscou a engrangé 191 milliards d'euros grâce à ses exportations de pétrole brut et de produits pétroliers, dont près de 85 milliards venant de l'UE, selon le Centre for research on energy and clean Air.
L'indice Dow Jones cédait 0,56% vers 15h00 GMT, le Nasdaq, à forte coloration technologique, 0,06%.
A la Bourse de Francfort, l'indice a reculé de 0,10%.