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Shutdown

Jeudi, le S&P 500 était entré en zone de correction, c'est-à-dire qu'il avait perdu plus de 10% depuis son plus haut de l'année atteint le 19 février. Son rebond vendredi lui permet de sortir de cette phase.
L'augmentation des cours de l'or noir montre une certaine confiance des investisseurs concernant le «shutdown» aux Etats-Unis.
La Bourse suisse peine à inverser sa tendance négative avant l'ouverture de Wall Street.
La guerre commerciale déclenchée par Donald Trump et les représailles qui ont suivi pèsent sur l'humeur des marchés.
Les Républicains sont majoritaires à la Chambre des représentants, avec leur «speaker» Mike Johnson.
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La Bourse de Zurich ouvre dans le rouge, avant une semaine chargée
Volkswagen a reculé de 1,77% après avoir notamment annoncé la suppression de plus de 35.000 emplois dans le pays d'ici 2030, soit près de 30% de ses effectifs.
Le premier constructeur automobile européen Volkswagen (-2,81% à Francfort) va notamment supprimer plus de 35.000 emplois en Allemagne d'ici 2030.
La Bourse suisse fait du surplace pour la dernière séance avant Noël
Le président républicain de la chambre des représentants des Etats-Unis Mike Johnson.
Le géant pharmaceutique danois Novo Nordiskc chutait de 20,61% vers 14h10 GMT, après les résultats décevants d'une étude.
Fertilizers feed the World
Chuck Schumer, le chef de file des démocrates au Sénat américain, a salué un «grand pas» vers l'adoption d'un budget complet pour l'année.
Le projet de loi à court terme, également appelé résolution permanente, permettra au gouvernement de continuer à financer les dépenses de l’Etat jusqu’au 1er et au 8 mars.
Sandoz (+1,2%) menait la course devant Givaudan (+0,8%) et Alcon (+0,7%).
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Swisscom (-0,8%) fermait la marche.
Une présidentielle américaine remportée par Donald Trump, une hausse du pétrole à cause du conflit au Moyen-Orient ou encore une dépréciation de la monnaie européenne représentent les principales menaces pour l'économie mondiale en 2024, selon les stratégistes de l'Isag.
Sandoz (+3,9%) a terminé sur la première marche du podium, devant VAT Group (+2,0%) et Julius Bär (+1,8%).
Une kyrielle d’indicateurs économiques va monopoliser l’attention des investisseurs cette semaine, à commencer par l’inflation.
Le trésor américain a réagi à la dégradation de Moody's en affirmant son «désaccord» avec le passage à une perspective négative.