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Perspectives

Les intentions d'embauche restent positives dans toutes les régions de Suisse.
Swissbanking a mis en évidence mardi à Genève quelques conséquences de la mise en oeuvre de la version finale de Bâle III, notamment dans l'immobilier.
L'économie suisse devrait croître à un rythme légèrement plus lent en 2025 par rapport à leurs prévisions d'octobre.
Entre l'introduction de droits de douane prohibitifs, notamment sur les importations chinoises, et une vaste dérégulation, deux promesses de campagne de Donald Trump, le marché américain est la grande inconnue de la communauté financière helvétique en ce début d'année.
Donald Trump, Jerome Powell, le franc suisse et la BNS: des symboles clés des débats économiques actuels, entre tensions monétaires, politiques commerciales et défis pour les banques centrales.
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En octobre, la majorité des analystes prévoyaient un ralentissement de l’inflation en Suisse et dans la zone euro. Mais en novembre, les attentes ont été plus mitigées.
Les spécialistes interrogés s’attendent à ce que l’économie suisse croisse à un rythme légèrement plus rapide cette année et l’année prochaine par rapport à leurs attentes de juillet.
Les économistes notent que l'industrie d'exportation souffre du manque de demande étrangère.
Des perspectives d'emploi positives sont attendues en particulier dans le secteur des technologies de l'information, qui reste solide avec une croissance attendue de 46%.
Un tiers des auteurs de l’étude table sur une reprise du franc au cours des six prochains mois.
Si l’inflation dans la zone euro et aux Etats-Unis ne ralentit pas suffisamment, les banques centrales concernées pourraient reporter leurs premières baisses de taux.
Les entreprises sont prudentes en matière d’emploi, anticipant des réductions d’effectifs.
Les prévisions optimistes s'appuient sur des perspectives plus favorables à l'exportation et du fait que la situation actuelle de l'économie suisse est désormais jugée plus solide.
Il n'y aura pas d'escalade massive déstabilisant les marchés financiers après l'attaque iranienne contre Israël, estiment les experts.
L'horizon s'éclaircit pour 2025 avec un PIB attendu en hausse de 1,8%.
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Les auteurs de l'étude considère la récente volatilité du franc suisse comme un point d'interrogation quant à la politique monétaire de la BNS.
Seuls les secteurs de la finance et de l'assurance échappent à l'embellie, relèvent les experts du KOF.
L'évolution positive provient essentiellement de l’industrie textile et métallurgique, ainsi que des machines-outils.
Le niveau actuel de l'indicateur indique plutôt un ralentissement économique et non une récession, selon le communiqué.
Les prix croissants des matières premières et de l’énergie, tout comme leur disponibilité, continuent de donner du fil à retordre à nombre de PME.