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Industrie

Alors que les entreprises du secteur manufacturier étaient encore majoritaires à vouloir abaisser leurs effectifs au deuxième trimestre, une petite majorité prévoit désormais d’embaucher.
La dégradation de l'état des commandes en particulier a pesé sur la situation commerciale dans l'industrie.
Du côté de l'industrie, la composante de la production a chuté de manière significative en juillet, mais cela représente principalement un effet saisonnier.
Des transactions similaires ont eu lieu par le passé, la plupart du temps liées à des transferts de propriété entre les quatrième et cinquième générations des familles propriétaires.
Sulzer a généré une croissance solide des ventes sur les six premiers mois de 2024, à la faveur d'une forte demande.
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Meier Tobler promet d'être «en bien meilleure forme en 2025», avec un tout nouveau logiciel de gestion et une logistique centralisée.
Pour le second semestre, le chiffre d'affaires et l'Ebit sont attendus au même niveau que la première partie d'exercice.
Forte de cette solide performance, la direction d'Autoneum a relevé ses prévisions pour l’ensemble de l’année.
La performance de Bucher Industries, dont la contraction était attendue au vu d'un contexte demeurant difficile, a peu ou prou correspondu aux attentes des analystes.
R&S a aussi confirmé ses objectifs financiers pour l'ensemble de l'année.
Les perspectives de Cicor pour le second semestre restent positives malgré un environnement difficile.
Le groupe s'attend à une reprise au second semestre mais devra faire face aux risques engendrés par les tensions géopolitiques.
Bossard va recourir à des facilités de crédit existantes pour financer l'acquisition.
Les chiffres de Dätwyler sont inférieurs aux prévisions du consensus de l'agence AWP, à l'exception de l'Ebit et de la marge afférente, qui dépassent les attentes.
Bourse Suisse: ouverture en repli après la BCE
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Bystronic plonge dans le rouge au premier semestre
En termes de rentabilité, le résultat d'exploitation (Ebit) s'est inscrit à 618 millions, en hausse de 2,7%.
Les entrées de commande ont connu une hausse de 74% par rapport à la même période l’an passé, à hauteur de 506,7 millions de francs.
Pour l’ensemble de l’exercice 2024, SFS table sur une «légère» croissance organique et une marge Ebit «légèrement supérieure» à celle enregistrée l’année dernière.
Outre les tensions géopolitiques, le résultat s’est vu péjoré par la force du franc et la faiblesse du secteur de la construction en Europe.