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G7

Les ministres du G7, qui comprend, outre l'Italie, le Canada, la France, l'Allemagne, le Japon, le Royaume-Uni et les Etats-Unis, auront quatre sessions de travail sur deux jours à la Venaria, un palais du XVIIe siècle.
Le G7 entend également finaliser «dans les semaines à venir» la mise en oeuvre du mécanisme de plafonnement du prix du pétrole russe.
Hôte du sommet en Bavière, le chancelier allemand Olaf Scholz a loué l'unité des alliés, à laquelle «Poutine ne s'attendait pas».
"Nous n'accepterons pas qu'une entreprise multinationale privée ait (...) la même puissance monétaire que les Etats souverains qui sont soumis au contrôle démocratique" a expliqué le ministre français Bruno Le Maire. (Keystone)
Depuis des mois, de nombreux régulateurs et gouvernements ont fait part de leurs inquiétudes notamment en raison de la mauvaise réputation de Facebook en matière de confidentialité et de protection des données personnelles. (Keystone)
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Patrick Eperon
Donald Tusk, le président du Conseil européen, s'est dit espérer que "le Premier ministre Johnson ne voudrait pas entrer dans l'Histoire comme Mr No Deal" et que lui-même n'allait pas "coopérer" pour un "no deal". (Keystone)
Le président français a soigné au millimètre la chorégraphie du sommet, avec en toile de fond le décor des palais de Biarritz. (Keystone)
Dans cette nouvelle charte, les signataires s'engagent "à diriger (les) entreprises vers des actions compatibles avec la trajectoire à 1,5°C de réchauffement climatique, via une 'juste transition' pour atteindre zéro émission nette de CO2 en 2050". (Keystone)
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe s'est opposé avec Trump à un nouvel engagement du G7 contre la pollution des océans par le plastique. (Keystone)
Le sommet annuel intervient juste avant la rencontre historique, mardi à Singapour, entre Donald Trump et le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un. (Keystone)
Donald Trump a renouvelé sa menace de tarifs sur les voitures européennes et étrangères importées aux Etats-Unis. Un secteur qui pèse bien plus que les deux métaux jusqu'à présent frappés. (Keystone)
Donald Trump s'est fendu de quelques amabilités pour le président français Emmanuel Macron, son "ami". (Keystone)
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Le ministre canadien des Finances Bill Morneau a vivement exprimé son opposition à ces taxes. (Keystone)