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Finma

Le Ministère public de la Confédération annonce ce mardi le dépôt de son acte d'accusation contre deux ex-employés du groupe énergétique.
Sur les 30 valeurs vedettes, 21 ont progressé, 8 reculé et VAT a fini sable.
Les sorties de fonds persistantes chez Credit Suisse soulignent l'importance pour UBS de finaliser la transaction rapidement.
Les investisseurs sont dans l'attente de la publication des résultats des géants de la tech de l'autre côté de l'Atlantique.
Fondations, Credit Suisse, ventes aux enchères: les trois mots-clés de la semaine
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Un cabinet d'avocats américains représente un groupe de créanciers obligataires de Credit Suisse
Le bon Schindler a partagé la plus haute marche du podium avec VAT (+2,6% chacun), devant Zurich Insurance et Givaudan (+1,4% chacun).
La liquidation des emprunts AT1 dans le cadre du mariage forcé entre UBS et Crédit Suisse fait grincer des dents plusieurs investisseurs.
Fabian Rupprecht est depuis 2018 directeur International Insurance et membre de la direction de NN Group au Pays-Bas.
Selon le journal dominical Sonntagszeitung, les deux groupes fusionnés envisagent de supprimer 20% à 30% des emplois.
Les autorités suisses ont annoncé le 19 mars -en même temps que le rachat de Credit Suisse pour seulement 3 milliards de francs suisses- que ces obligations Additionnal Tier 1 (AT1) non seulement ne valaient plus rien mais aussi qu'elles avaient décidé de privilégier les actionnaires de Credit Suisse plutôt que les investisseurs qui avaient acheté ces AT1 pour 16 milliards de francs.
La Finma a jugé que sans matelas financier supplémentaire, PostFinance ne disposerait pas des garanties suffisantes face aux risques encourus.
Ce refus final s’apparente à un blâme envers le Conseil fédéral et l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma), les crédits urgents ne nécessitant que la validation de la Délégation des finances.
Durant près de cinq heures de débats, les sénateurs n'ont pas caché leur colère envers la banque Credit Suisse et réclamé des correctifs.
Les Verts voteront les crédits au titre de garantie pour le sauvetage de Credit Suisse seulement s’ils sont accompagnés d’engagement en termes de durabilité, a déclaré leur président, Balthasar Glättli.
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«Si les appels à une séparation des activités bancaires, à une scission de CS suisse ou à des garanties pour l’emploi étaient suivis, UBS se retrouverait inévitablement sous pression dans une phase de transformation délicate.»
Les demandes d'explication émanant du Parlement portent sur plusieurs sujets: les événements qui ont conduit à la chute de Credit Suisse, la réglementation «too big to fail» ou l'examen d'une possible action en justice à l'égard des organes dirigeants de Credit Suisse.
Raiffeisen a précisé disposer d’une capitalisation «excellente» et de liquidités «extrêmement solides». Le ratio de liquidité à court terme s’élève en effet à 168,4%, se situant nettement au-dessus du minimum réglementaire de 100%.
La suppression annoncée mercredi touche «quelque 1.000 collaborateurs» à travers le monde, elle les privera d'un montant total d'environ «50 à 60 millions de francs», indique le Conseil fédéral.
Marlene Amstad, présidente de la Finma, mercredi 5 avril, à Berne.