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Boris Johnson

La visibilité retrouvée mi-décembre, tant sur la guerre commerciale que sur le Brexit, a permis aux investisseurs de sabrer le champagne pour les fêtes. (Keystone)
L'année 2020 se déroulera sous le signe de la fin d'une ère, celle de l'envolée des échanges marchands et de l'industrialisation à grande vitesse des pays émergents. (Keystone)
La livre est toujours plombée par une possible sortie brutale de l'UE. (Keystone)
(Keystone)
La devise britannique continue à perdre du terrain face à l'euro. (Keystone)
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Olivier de Berranger.
Valentin Girard.
Ni colombe, ni faucon, Lagarde serait une chouette
La conférence qui a commencé le 2 décembre devait se terminer vendredi soir. (Keystone)
Les investisseurs étaient particulièrement attentifs cette semaine aux élections britanniques. (Keystone)
La devise britannique a été la première à réagir, signant le bond le plus fort depuis une décennie face au billet vert (Keystone)
Les ressortissants britanniques vivant en Suisse et les Suisses installés en Grande-Bretagne pourront conserver leur droit de séjour après le Brexit.(Keystone)
Jusqu'à présent, Boris Johnson n'avait pas réussi à faire adopter par le Parlement l'accord de divorce qu'il avait négocié avec Bruxelles, faute de majorité à la Chambre des communes.(Keystone)
Marie Owens Thomsen
Les Conservateurs du Premier ministre Boris Johnson sont en tête des sondages pour les législatives de jeudi. (Keystone)
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Le régime anticyclonique perdure à Wall Street
Vers 7h30, la livre a atteint 83,94 pence pour un euro, un plus haut depuis mai 2017. (Keystone)
Paul Jackson. Global Head of Asset Allocation Research d'Invesco.
Ce «Fed put» qui inhibe la vigilance des marchés
La livre se prend au rebond