16 mars 2015, 23h14
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Le début de l’année 2015 confirme le phénomène que nous décrivions dans notre Note de janvier dernier («Etre prêt plutôt que prédire»): l’économie globale continue d’afficher une croissance faible et vulnérable aux pressions déflationnistes, mais la flamme des investisseurs rejaillit soudainement devant l’imminence d’un soutien monétaire renforcé, cette fois-ci en provenance de la Banque centrale européenne. Il serait mal venu pour un gestionnaire actif de priver ses clients des largesses d’un b...
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