08 mai 2017, 23h00
Partager
François Christen*
L’absence de mauvaise surprise au deuxième tour de l’élection présidentielle française favorise un léger mouvement de convergence sur le marché des capitaux souverains en euros. Les emprunts germaniques ont cédé un peu de terrain, à l’inverse des obligations des membres les plus vulnérables de l’UME. Le rejet du populisme incarné par Marine Le Pen et la nette victoire d’Emmanuel Macron constituent une bonne nouvelle pour l’UE. Le pragmatisme, teinté d’orthodoxie, du jeu...
L’absence de mauvaise surprise au deuxième tour de l’élection présidentielle française favorise un léger mouvement de convergence sur le marché des capitaux souverains en euros. Les emprunts germaniques ont cédé un peu de terrain, à l’inverse des obligations des membres les plus vulnérables de l’UME. Le rejet du populisme incarné par Marine Le Pen et la nette victoire d’Emmanuel Macron constituent une bonne nouvelle pour l’UE. Le pragmatisme, teinté d’orthodoxie, du jeu...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT