12 avril 2016, 20h42
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Le différentiel de croissance entre la Suisse et la zone euro s’est inversé. C’est l’Europe qui a désormais pris le dessus. L’économiste en chef de Lombard Odier s’attend à ce que la période de «stagnation douce» avec une croissance du produit intérieur brut (PIB) suisse de 0,5 à 1% se poursuive. Sauf si la Confédération changeait radicalement de politique économique. Fini la focalisation sur le bas niveau de dette en pourcentage du PIB. Le frein à l’endettement - source de fierté en Suisse - do...
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