24 août 2014, 21h18
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Début 2014, les marchés européens étaient nettement favoris. Les investisseurs sentaient bien les progrès macroéconomiques enregistrés dans certains pays périphériques, en particulier l’Espagne, qui recommence à exporter et semble sorti de la récession. Au même moment, les marchés émergents étaient décriés. Trop risqués face au risque, jugé alors réel, d’une crise tequila version asiatique.
Mais l’intensification de la crise en Ukraine a modifié les plans. L’Europe se retrouve confrontée ...
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