15 avril 2012, 21h01
Partager
EUR/USD Les intervenants du marché se sont trouvés trois bonnes raisons d’arbitrer leurs portefeuilles. L’Espagne, la Chine et le chômage américain. Un cocktail sulfureux que les cambistes hésitent à porter aux lèvres tant les vapeurs sont repoussantes. La semaine s’annonçait pourtant réconfortante après ce long week-end de Pâques. La Chine affichait un épatant excédent commercial de 5,35 milliards de yens en mars après un déficit de 31,5 milliards en février, prenant à contre pied les prévision...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT