24 novembre 2014, 22h12
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Comme toujours, l’évolution du prix du pétrole est affaire d’équilibre entre offre et demande. Les théories conspirationnistes - et il en courre de bien bonnes sur le web - ne changeront pas les raison structurelles pour lesquelles le cours était amené à chuter.
Les Etats-Unis sont devenus exportateurs nets de produits pétroliers, la production libyenne revient sur le marché avec 800.000 barils/jour en septembre et même l’Irak produit plus que prévu. Sans être tout à fait inondé, le march...
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