28 mars 2017, 21h22
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De passage à Genève, Luke Farrell, Fixed Income Investment Director chez Capital Group à Los Angeles, estime que le changement majeur s’est produit dans le profil de liquidité du marché obligataire au cours des dix dernières années. «Contrairement aux crédits hypothécaires et aux bons du Trésor, très liquides; les obligations corporate US le sont beaucoup moins», observe Luke Farrell, qui ajoute que les trading desks des firmes de Wall Street ne jouent plus leurs rôles d’absorbeurs de choc, suit...
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