14 octobre 2013, 21h31
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«Il y a cent ans, les investisseurs européens préféraient largement investir dans des obligations des chemins de fer russes ou en Chine impériale plutôt qu’aux Etats-Unis, alors considérés comme pays émergent si on peut dire».
On connaît la suite de l’Histoire. Mais encore aujourd’hui malgré la quantité d’informations accessibles aux investisseurs par internet par exemple, le rôle des perceptions dans l’investissement n’a que peu changé. Julien Devaux, sous-directeur et conseiller en inv...
On connaît la suite de l’Histoire. Mais encore aujourd’hui malgré la quantité d’informations accessibles aux investisseurs par internet par exemple, le rôle des perceptions dans l’investissement n’a que peu changé. Julien Devaux, sous-directeur et conseiller en inv...
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