19 octobre 2016, 21h52
Partager
La recherche de la BNS montre que les différentiels de taux d’intérêt et les flux de capitaux ont moins d’influence sur les monnaies refuges que l’aversion au risque au niveau mondial. Les avoirs nets en francs suisses détenus par les non-résidents sont restés stables lorsque la monnaie s’est appréciée entre 2008 et 2012, alors qu’ils ont diminué pendant la phase la plus récente d’appréciation du franc.
L’autre lien souvent cité, celui entre taux de change et exportations, semble égaleme...
L’autre lien souvent cité, celui entre taux de change et exportations, semble égaleme...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT