03 juin 2012, 21h34
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Notre cadre analytique, depuis le début des années 2000, n’a pas changé. Nous soutenons, nous répétons, nous martelons, que le monde global souffre d’un excès de crédit. Nous expliquons que cet excès de crédit, faute d’être résorbé par l’inflation et par les hausses nominales du Revenu National, cet excès de crédit finit par trouver ses limites dans le surendettement généralisé. Par ailleurs, les pseudo-remèdes des Etats souverains (les déficits keynésiens) et les manipulations des Banques Centr...
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