19 novembre 2015, 21h30
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Le 24 août 2015, à l’ouverture de la bourse américaine, les plus grandes capitalisations boursières du monde plongeaient à une vitesse et des niveaux inégalés depuis le Flash Crash de mai 2011. General Electric et JP Morgan Chase perdaient 21%, Apple 13%, Johnson&Johnson 14%, et d’autres actions du même calibre connaissaient le même sort. La baisse et le rebond qui s’ensuivit furent très rapide car, dix minutes plus tard, les mêmes actions cotaient à nouveau à des niveaux considérés comme no...
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