23 septembre 2015, 21h58
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Les petites et moyennes capitalisations passent traditionnellement pour plus risquées que les grands blue chips. Les observations que la responsable Actions Suisse d’UBP Eleanor Taylor Jolidon a faites lors de la dernière période de baisse sur le marché de fin août remettent cette idée en question. «La volatilité des blue chips a été plus importante que celle des capitalisations plus petites. Cela m’a surpris, c’est rare que ce phénomène se produit depuis les plus de vingt ans que je suis dans c...
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