21 avril 2015, 22h37
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Pour apprécier la cherté d’un titre ou d’un marché, il ne faut pas regarder le présent ou l’avenir, ils sont imprévisibles et les prévisions que l’on fait comportent déjà à notre insu notre optimisme ou notre pessimisme, elles incluent déjà notre désir ou non-désir d’achat. Un multiple cours-bénéfice n’a rien de magique et ce n’est même pas un critère, c’est une rationalisation d’un désir d’achat ou de vente, au mieux cela sert pour les comparaisons. «C’est trop cher», c’est surtout une impressi...
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