27 août 2013, 22h19
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Le risque d’une action militaire contre la Syrie rend les marchés particulièrement nerveux en ce début de semaine. Ce n’est pas tant que le pays soit un centre financier important, mais la probabilité d’un conflit mené par les Etats-Unis contre une Syrie manifestement soutenue par la Russie (via l’Iran) réveille d’anciennes craintes sur le fait que cette situation devienne un proxy de lutte américano-russe déguisée, sous couvert de bonnes intentions de «libération» du pays. Au niveau des marchés...
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