06 février 2018, 10h40
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Le début des séances sur les marchés européens a ressemblé à une prophétie auto-réalisatrice. A la suite de la séance de Wall Street qui a enregistré la baisse la plus forte depuis 2011 et la réaction négative des marchés asiatiques, ceux du Vieux Continent ne pouvaient guère faire autrement que d’emboîter le pas.
Même dans des titres habituellement liquides comme ceux faisant partie du SMI, les ordres de vente ont créé une pression énorme en ouverture de séance. Le négoce de l’action Credit Su...
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