11 juillet 2012, 22h48
Partager
(…) S’il est incontestable que le Conseil européen des 28 et 29 juin a livré son lot de surprises positives, catalyseurs du rebond des marchés, il est aussi juste de dire que les attentes avaient préalablement été fortement abaissées, compte tenu des divergences réitérées de positions entre les principaux Etats-membres, à commencer par l’Allemagne et la France. Ces surprises se répartissent entre les mesures «techniques» de court terme, susceptibles de relâcher la pression sur les rendements ita...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT