09 décembre 2012, 20h33
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Comment, dans cet environnement où les rendements de la plupart des débiteurs de qualité (étatiques ou privés) se situent bien en-dessous de l’inflation, trouver un argument qui vienne soutenir les investissements obligataires ? On pourrait par exemple, connaissant les performances générées au cours de l’année qui s’achève (entre 5 et 9% selon les monnaies), être tenté de renouveler le pari en 2013. Cependant une analyse plus fine des gains engrangés courant 2012 révèle qu’une bonne partie...
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