09 janvier 2013, 22h07
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2012 a plutôt été une bonne
année pour les stratégies contrariantes. Celles-ci peuvent s’exprimer simplement en surpondérant les «perdants» de l’année précédente et en sous-pondérant les «gagnants». L’approche contrariante s’oppose à l’approche momentum, qui se base à l’inverse sur une persistance des tendances, le consensus en d’autres termes. Un des premiers contrariants aurait pu être le stoïcien Sénèque, pour qui «la foule est l’argument du pire» (ARGUMENTUM PESSIMI TURBA EST).
année pour les stratégies contrariantes. Celles-ci peuvent s’exprimer simplement en surpondérant les «perdants» de l’année précédente et en sous-pondérant les «gagnants». L’approche contrariante s’oppose à l’approche momentum, qui se base à l’inverse sur une persistance des tendances, le consensus en d’autres termes. Un des premiers contrariants aurait pu être le stoïcien Sénèque, pour qui «la foule est l’argument du pire» (ARGUMENTUM PESSIMI TURBA EST).
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