06 octobre 2016, 21h07
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L’art, bien discrétionnaire par essence, a toujours été un marché très émotionnel. Sur les quinze dernières années, le secteur a connu au moins trois corrections majeures, avec une capacité de récupération plutôt hors norme. Le marché de l’art est de fait très observé et donne l’impression de passer un test permanent, chaque session de ventes publiques (les statistiques ne parlent jamais que de ça, les ventes privées échappant au recensement systématique) servant de baromètre pour la suivante. C...
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