09 septembre 2012, 21h32
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La zone euro est toujours à la croisée des chemins: l’un qui dirige vers une structure fédérale, l’autre vers la rupture. Le premier exige que les gouvernements individuels cèdent encore davantage de souveraineté, ce qui se heurte au problème du «déficit démocratique». Les arguments les plus convaincants en faveur d’un marché unique, que ce soit la monnaie unique et des taux d’intérêt semblables, et la solidarité entre les membres de la zone euro, seront réduits à néant si les électeurs se rebel...
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