06 juin 2016, 9h49
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Après une première digestion, il semble que la majorité des investisseurs aient choisi (momentanément) le camp de ceux qui apprécient le fait que la hausse des taux d’intérêt n’aura pas lieu dans moins de 2 semaines et qu’il faudra peut-être même patienter jusqu’à septembre.
La violente dégradation du marché du travail n’est apparemment pas la préoccupation du moment. Pour combien de temps cependant?
En terme sectoriel, comme nous le rappelions vendredi, c’est surtout le secteur financier qui...
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