25 août 2013, 20h51
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Dans les premières années du 20e siècle, les écoles militaires britanniques et leurs généraux se sont retrouvés piégés par le succès d’une stratégie surannée – qui datait d’avant l’invention des armes à feu. Ils estimaient à l’époque que les armes à feu nuisaient au moral des troupes. Ce qui comptait vraiment, c’était le cheval et l’épée. Selon un manuel de cavalerie britannique de 1907: «un pistolet ou un fusil, aussi efficace fût-il, ne sera jamais aussi destructeur qu’un cheval au galop et ne...
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