14 mars 2013, 22h49
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Un des thèmes actuellement populaires dans le monde financier (comme en témoigne un récent gros titre de Barron’s) est celui de la «grande rotation» des obligations américaines surévaluées vers les actions américaines comparativement bon marché. Néanmoins, nous ne souscrivons pas à cette simple théorie de rotation de grande ampleur. Pourquoi?
Avant toute chose, le terme même de «grande rotation» n’est pas adapté. En effet, à chaque instant, le marché est composé d’une quantité définie de ...
Avant toute chose, le terme même de «grande rotation» n’est pas adapté. En effet, à chaque instant, le marché est composé d’une quantité définie de ...
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